
1. Une voiture qui carbure à l’oxygène
Dans la course à la batterie parfaite (compacte, légère et vite rechargeable), des laboratoires aux États-Unis, en Europe et au Québec expérimentent un nouveau type de batterie qui s’alimente à l’air ambiant. C’est l’oxygène de l’air qui active la réaction électrochimique produisant l’électricité. Cette batterie « lithium-air » réglerait deux problèmes : celui de la faible autonomie et celui du volume des batteries, qui encombrent les coffres. Sa conception tarde entre autres parce que la batterie lithium-air résiste encore mal à la corrosion.
2. La fin (enfin !) des embouteillages
Le cauchemar des embouteillages ne sera bientôt plus qu’un mauvais rêve. Grâce à la communication de véhicule à véhicule (V2V, adoptée pour l’instant par Cadillac et sous peu par Volkswagen), votre auto connectée sera en mesure de « parler » aux autres véhicules pour vous recommander un trajet optimal. Déjà, la technologie V2X permet à bien des modèles de « communiquer » avec les infrastructures, les feux de circulation, par exemple. Des régulateurs de vitesse adaptatifs (RVA) peuvent aussi déjà maintenir une distance constante, parfois très réduite, entre les voitures. Il suffit que seulement 25 % d’entre elles soient équipées d’un RVA pour diminuer les embouteillages et le temps de déplacement de 37%, rapporte le New York Times.

3. Le train autonome
Le Centre aérospatial allemand, à Cologne, élabore un concept de train de marchandises de prochaine génération, qui pourrait être sur les rails bientôt. Les wagons, équipés de batteries et de charriots électriques, seront en mesure de s’aiguiller tout seuls pour s’assembler derrière leur locomotive sans intervention humaine. Et ce train roulera à 400 km/h, à la vitesse d’un TGV. À l’arrivée, les wagons iront se placer dans la bonne zone de transbordement. L’idée est non seulement de rendre le transport de marchandises plus rapide entre le point A et le point B, mais de gagner du temps dans la gare de triage. Le simple fait de ne plus avoir à coupler et découpler les wagons un à un réduirait les frais de transport de 30 % à 40 %. Petit train va loin — et vite.
4. Les taxis volants
L’automatisation des transports aériens est déjà en marche. Bientôt, des taxis-drones, sans pilote, transporteront un passager directement depuis le toit d’un gratte-ciel jusqu’à l’aéroport. En tête de la course : l’entreprise chinoise Ehang, avec son modèle 184. Cela dit, le Volocopter de Daimler et le Vahana d’Airbus ne sont pas trop loin derrière. Audi, en partenariat avec Airbus, travaille sur un concept différent : une voiture qu’un drone peut saisir par la toiture. Une autre entreprise française, SeaBubbles, expérimente à Paris des bateaux-taxis volants. Équipée d’une petite aile sous la coque, l’embarcation électrique se soulève dès qu’elle se met en mouvement et plane au-dessus de l’eau. La Bubble peut ainsi se déplacer d’un bout à l’autre de la Seine en moins de temps qu’il en faut pour dire « métro ».

5. On y va… en valise !
Après la valise à roulettes, voici qu’arrive la « valise à moteur », qui vous transporte, vous et vos effets personnels, d’un bout à l’autre de l’aéroport. Plus besoin de courir d’un terminal à l’autre pour attraper sa correspondance : on s’assoit sur la valise, et zou ! De la taille d’un bagage à main et pesant neuf kilos à vide, la valise Modobag est munie d’un petit volant repliable, d’un appuie-pieds, d’un moteur électrique et d’une batterie qui vous donne 10 km d’autonomie à 11 km/h. Et si l’avion est retardé, votre valise vous servira de chargeur pour l’ordinateur et le cellulaire. Le seul bémol, c’est le prix : 1 500 dollars américains.
La BMW i8 Roadster est, jusque dans son plus menu détail, le parfait porte-étendard de la conception avant-gardiste que nous priorisons chez BMW. Ses lignes futuristes expriment une esthétique hautement dynamique, qui coupe le souffle du connaisseur avant même qu’il n’enfonce l’accélérateur. Au premier coup d’œil, ce sont ses imposantes portières en élytre en fibre de carbone légère qui font la plus grande impression. L’avant, très athlétique, affirme fièrement son unicité avec ses phares LED doublés des Air Curtains redessinés, mais garde des airs de famille en arborant l’iconique double calandre BMW. Sa distinctive Black Belt prend naissance sur le capot et s’allonge jusqu’à l’arrière du véhicule, venant accentuer la silhouette compacte de la voiture. Quant au design Streamflow, il permet l’écoulement optimal du flux d’air, prodiguant un aérodynamisme insurpassable. La BMW i8 Roadster constitue un mariage idéal entre fonctionnalité et splendeur, parfaitement combinées pour vous offrir, ultimement, une incomparable liberté.
Pour la valise, c’est un vieux concept. Autre bémol: depuis certains événements impliquant, notamment, certains cellulaires, les valises intelligentes ou mobiles sont souvent interdites sur les vols. On se rabat sur le bateau et le train?
Un tout petit peu « Professeur Tournesol », tout ça?… J’me vois, assis sur ma valise, traverser l’aéroport à toute vitesse, pour essayer d’atteindre désespérément mon prochain avion… qui ne m’a « même pas attendu »… le vilain !
Au Québec on a eu besoin de plus de 12 ans pour remplacer les wagons du métro qui étaient construits dans les années ’60 et qui avaient des roues trempées dans de l’huile d’arachide… et nous n’avons toujours pas un moyen de transpprt moderne reliant l’aéroport Trudeau du centre-ville (une chance qu’on a accepté le PPP pour le REM …) et tout à coup on parle de choses science-fiction. On devrait être plus réalistes, voyons…