
Le truc ? Tant l’écran que la tablette à repas du siège AirGo sont fixés au plafond de l’appareil, sous un compartiment à bagages individuel. Et au lieu d’encombrants coussins, le siège est fait d’un filet synthétique.
En revanche, il nécessite 16 % plus d’espace qu’un siège traditionnel et il exigerait une reconfiguration complète de l’intérieur des appareils. Pour financer la chose, le concepteur propose aux transporteurs de mettre à profit l’écran individuel 3D pour, entre autres, vendre des films et du temps de jeux vidéo en réseau, ou pour diffuser de la publicité.
AirGo a soulevé l’enthousiasme des membres du jury au James Dyson Awards — un concours international de design —, mais pas encore celui des transporteurs aériens…