Le lieu de tous les possibles

Nos lecteurs curieux et intelligents veulent un magazine à leur mesure, et c’est ce que nous leur proposons avec L’actualité renouvelé, qui vise à leur en offrir plus… et mieux.

Photo : Daphné Caron

Changer le monde… La relance de L’actualité démarre sur un thème ambitieux, à l’image des Québécois exceptionnels en vedette dans ce numéro.

À L’actualité, nous partageons aussi l’ambition de changer le monde, car nous croyons qu’une information rigoureuse, nuancée et diversifiée est source de progrès et de liberté. Nos lecteurs curieux et intelligents veulent un magazine à leur mesure, et c’est ce que nous leur proposons avec L’actualité renouvelé, qui vise à leur en offrir plus… et mieux.

En cette ère où des points de vue polarisants cherchent à accaparer l’espace public, L’actualité se veut plus que jamais un lieu où des gens de tous les horizons peuvent se retrouver. Qui n’a pas rêvé d’un havre d’extrême centre où il pourrait approfondir sa réflexion sur ce monde en constant changement ? C’est ce que nous sommes.

Nos lecteurs comptent sur nous pour les aider à rester centrés sur l’essentiel, à comprendre les enjeux les plus complexes au moyen de reportages bien vulgarisés, présentés dans une langue riche et évocatrice. Ils veulent être informés, inspirés et parfois, aussi, émus ! C’est ce qui continuera de constituer le cœur de L’actualité. Le magazine s’intéresse aux gens qui osent, inventent, rêvent et font que le monde avance.

Nous avons donné une nouvelle mine à l’ensemble du magazine pour le rendre plus agréable à découvrir. Et parce qu’il est souvent plus facile d’apprendre en s’amusant un peu, nous introduisons aussi de nouveaux rendez-vous informatifs et divertissants. Une chronique sur la vie numérique, tenue par Maxime Johnson, voit également le jour, de même qu’une galerie présentant le travail d’un artiste graphique québécois dans chaque numéro.

Notre équipe de chroniqueurs chevronnés s’agrandit avec l’arrivée de l’animatrice Marie-France Bazzo, de l’urgentologue et auteur Alain Vadeboncœur et de la journaliste-écrivaine Claudia Larochelle. Nos pages culturelles s’enrichissent du savoir-faire de nos collègues du magazine Voir et l’épicurienne Nadia Fournier met en vedette les goûts d’ici dans sa nouvelle chronique. À la demande générale, nous avons bonifié la section En commençant par la fin, présente depuis les débuts du magazine, en 1976 !

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      L’actualité change aussi de rythme et devient une publication mensuelle, dans l’esprit d’un magazine de profondeur, où l’on découvre non pas l’actualité du moment, mais celle de l’époque. Dans notre site Web, nous continuerons d’inventer différentes façons de faire vivre le journalisme magazine sur vos écrans, au moyen notamment de vidéos, de baladodiffusions et de reportages interactifs.

      Des lecteurs nous disent parfois que nos reportages à l’étranger les font rêver de partir au bout du monde. Ils pourront désormais le faire en compagnie de journalistes expérimentés dans le cadre d’une nouvelle série de voyages, proposée en collaboration avec Uniktour. Cette invitation à la découverte démarre en Afrique du Sud avec l’auteure-journaliste Lucie Pagé, ainsi qu’en Israël et Palestine avec la journaliste Ginette Lamarche.

      L’actualité lance aussi la série de grandes conférences L’ACT, afin d’inspirer l’envie de passer à l’action pour relever les grands défis de notre époque. Créée avec notre partenaire O’Dandy, cette formule de conférences inédite tentera notamment de lever les obstacles à l’équité hommes-femmes en entreprise, explorera les nouvelles frontières de l’intelligence humaine et artificielle ou encore fera le point sur les façons de remédier à la surcharge mentale, qui nous rend distraits et improductifs.

      Tout cela n’est qu’un début. L’actualité a une foule de nouveautés en chantier. Pour que le monde avance, joignez-vous à nous. L’extrême centre est le lieu de tous les possibles !

      >>> Voir le communiqué de presse

      Les commentaires sont fermés.

      Vite, vite, que je cours chercher mon courrier et toucher ce nouveau venu… Je sais d’avance ne pas être déçue.

      Il y a quelques années, j’ai abandonné mon abonnement à L’Actualité, déçu de voir qu’on y publiait de moins en moins d’articles en profondeur sur les grands enjeux de société. Je vais me procurer la nouvelle mouture de L’Actualité dès aujourd’hui et, d’après ce que j’en ai entendu, vous pourriez bien compter à nouveau sur moi comme abonné…

      J’étais abonné à la revue depuis le premier numéro. L’an dernier, je n’ai pas renouvellé mon abonnement. J’avais perdu mon enthousiasme du début lorsque je recevais ma revue. J’ai lu d’un couvercle à l’autre la nouvelle publication et je désirerais féliciter l’équipe pour son travail. Ce matin, j’ai renouvellé mon abonnement. Enfin, ma revue préférée est revenu. Félicitations pour votre nouveau numéro.

      Bonjour ! Je suis des plus heureux de me retrouver parmi vos lecteurs « curieux et intelligents », espérant que ces deux qualités trouveront nourriture pour leur esprit, pour leur coeur voire pour leur âme dans votre « nouvelle » mouture. Comme les « autres » de votre public lecteur, je verrai à l’usage. Sans prétention, je me sais appartenir aux gens qui « osent, inventent, rêvent et font que le monde avance » ( le 4e paragraphe de cet article). Ce mode où, à mon humble avis, nombre de conscience sont malades.
      J’ai un tantinet grimacé à lire votre « pour les aider à rester centrer sur l’essentiel », alors qu’il serait d’abord sage de définir de quoi est fait cet « essentiel ». Vous touchez à du grand, du très grand. Et de me questionner sur ce qui m’est essentiel ? Oh! La ! La !
      Merci à vous pour cette invitation à y faire examen de conscience.
      Mes respects,
      Gaston Bourdages,
      Auteur – Conférencier.
      Saint-Mathieu-de-Rioux, Qc.

      Rebonjour à vous qui, en utilisant le mot « essentiel » ( 4e paragraphe ) m ‘avez comme titillé le dedans. Des recherches dans dictionnaires ont suivi. Et j’y ai lu : « primordial, indispensable, fondamental, vital, capital » et encore. N’est-ce pas lourde tâche et grande responsabilité que vous prenez en écrivant que nous lecteurs, « comptons sur vous pour ( nous ) aider à rester concentrés sur l’essentiel » ? Pourquoi je questionne ainsi ? Je viens tout juste de publier un ouvrage sur la conscience….en santé ou malade ? sujet qui m’apparaît, en toute humilité, quasi essentiel nous qui traversons et vivons une époque d’érosion des valeurs. Y participons-nous ou y assistons-nous sans y réagir ?
      Gaston Bourdages.

      Vous dites qu’il faut entre autres, que les lecteurs soient « émus ». J’espère, qu’à l’encontre de autres médias, votre revue ne se transformera pas en un « mur des lamentations ».

      J’ai lu les commentaires colligés au bas de la page. Je partage modérément l’opinion générale exprimée chez ces lecteurs. Je vais aussi lire les prochains numéros avant de renouveler mon abonnement.
      Dans votre court texte, vous écrivez à deux reprises: pour « que le monde avance ». De toute évidence les sociétés humaines ne stagnent pas, même si certaines, en Afrique par exemple, donnent l’impression de souffrir en silence. Elles progressent néanmoins. Et vous ajouter: « …, joignez-vous à nous. » Je doute beaucoup que l’Actualité puisse aider le monde à avancer. Votre influence ne pourra être que futile.
      Et lorsque j’ai lu à la fin de votre article: « L’extrême centre est le lieu de tous les possibles! », j’ai souri. Pour un ex-ingénieur de 70 ans, la notion « d’extrême centre » n’a pas de sens, puisque notre langue définit extrême par: « Qui est tout à fait au bout, tout à fait le dernier. »
      Le centre du bout ou le dernier centre ?
      Pourquoi ne pas simplement écrire : « qui est précisément au centre »?
      Ou serait-ce pour créer un nouveau même?

      Une grande joie en voyant ce matin dans mon exemplaire papier de la revue L’Actualité tout récemment livré – je suis abonnée trado – que Marie-France Bazzo, celle que j’appelle par devers-moi « La Magnifique », rejoint l’équipe des chroniqueur(e)s de l’Actualité. C’est un ‘plus’ certain. Grand merci pour ce cadeau – et l’ensemble de la revue. Nous avons besoin de ce lieu « où des gens de tous les horizons peuvent se retrouver », comme dit M. Grandmond, ce « havre d’extrême centre où il pourrait approfondir sa réflexion sur ce monde en constant changement ». Continuez !