On parle beaucoup de la Grèce ces jours-ci, mais l’influence de la Chine sur nos économies est devenue si considérable que la situation chinoise risque d’accaparer l’attention de tous les dirigeants mondiaux d’ici peu.
Les chauffeurs de taxi parisiens viennent de remporter une grande victoire contre Uber. Mais le succès de cette entreprise est d’abord l’échec des réseaux de taxi existants.
Le cas grec a une valeur d’exemple. On ne peut pas fuir ses obligations, on ne peut pas être en défaut sur sa dette sans prix à payer, et on ne peut quitter la zone euro sans douleur.
La candidature de Québec pour l’obtention d’une nouvelle franchise dans la Ligue nationale de hockey (LNH) est en bonne position par rapport à celle d’autres villes… mais cela ne lui assure pas la victoire.
À quelques mois de la conférence de Paris, qui tentera de réussir là où Copenhague a échoué, certaines déclarations percent légèrement les nuages à forte concentration de CO2.
Les créanciers ont perdu confiance dans la capacité de la Grèce à faire le ménage et à rétablir sa situation. Mais pour le pays, une sortie de l’euro — la Grexit, comme on la surnomme — ne se ferait pas sans heurts.
Sur le même modèle que l’européenne Ryanair et l’américaine Spirit Airlines, une nouvelle compagnie devrait attirer les clients avec ses tarifs défiant toute concurrence.
L’économie du Web n’est pas de tout repos… et les évaluations boursières spectaculaires d’un jour peuvent disparaître comme un gazouillis au milieu de la tempête.
Le Dr Vincent Demers, qui a le sens du marketing, dit que son projet de service de consultation à domicile coûtera moins cher qu’une visite du plombier.