Pour rétorquer aux images de torture, de décapitations et d’explosions propagées en ligne par l’État islamique, le gouvernement américain opte pour des images… de torture, de décapitations et d’explosions.
Publier des informations privées sur Facebook, c’est un peu comme se faire tatouer le NIP de sa carte de guichet dans le front avant d’affirmer, sans rire, que de nous regarder en haut des sourcils est une tentative de fraude.
Le supervirus informatique Regin vole les mots de passe, espionne les courriels, copie les fichiers sensibles et infiltre les réseaux cellulaires. Une arme numérique sans précédent créée par un État.
Google affirme que j’ai 38 centres d’intérêt, le premier étant «actualités». Pas bête, je suis journaliste. Il ne se trompe pas non plus avec «communautés en ligne», «informatique et électronique», «jeux» et «logiciel».
L’an dernier, un Français a lancé un réseau social destiné à partager les images prises par des drones, ces robots des hauteurs. Aujourd’hui, Dronestagram attire pas moins de 200 000 visiteurs uniques par mois.
Blake Benthall, connu en ligne sous le pseudonyme de «Defcon», a été intercepté par les autorités de San Francisco. Son entreprise générait des ventes d’environ huit millions de dollars par mois et comptait près de 150 000 utilisateurs actifs.