
Les artistes disposent maintenant d’une méthode draconienne pour empêcher les spectateurs de filmer leurs prestations sur scène : ils bloquent l’accès au cellulaire pendant toute la durée du spectacle.
À l’entrée de la salle, les spectateurs sont tenus d’insérer leur téléphone dans un étui de néoprène qui sera verrouillé par un technicien. L’utilisateur conserve l’étui scellé jusqu’à la fin du spectacle. Il pourra le faire déverrouiller en quittant les lieux.
Cet outil, conçu par l’entreprise californienne Yondr, vise à mettre en place des zones libres de téléphones cellulaires et à limiter le partage sur les médias sociaux de photos ou de vidéos prises pendant un spectacle.
Les artistes Alicia Keys, Adele et The Lumineers ainsi que les humoristes Dave Chappelle et Louis C.K. ont tous fait appel aux services de l’entreprise lors de leur plus récent lancement.
Génial! En tant que spectateur respectueux et discret, nous ne seront plus dérangé par ceux qui se croit tout permis et en toute circonstance uniquement parce qu’ils paie leurs places. En d’autres terme ceux qui se fout des autres assis autour d’eux. J’espère que cette pratique se répendra!
Génial! En tant que spectateurs respectueux et discrets nous ne serons plus dérangés par ceux qui se croient tout permis et en toute circonstance uniquement parce qu’ils paient leurs places. En d’autres termes, ceux qui se foutent des autres assis autour d’eux. J’espère que cette pratique se repandra!
…parce qu’ils paient LEUR PLACE… (On ne paie que pour une seule place). À moins qu’ils aient réservé tout l’endroit!
Ces étuis anti-portables sont-ils insonorisés au cas où son utilisateur oublie de couper ou du moins abaisser le volume de la sonnerie de son téléphone intelligent?
Je suppose que ça implique une fouille au corps serrée à l’entrée, et un délai conséquent, et une bonne file à la sortie.
Je suis pour la prohibition, mais le moyenm’indispose.
Je trouve triste qu’on doivent en arriver à des méthode comme celle-là pour faire respecter des règles de courtoisie et de respect.
Mais dans quel genre d’époque de « Moi, je m’en fou » qu’on est rendu….