Techno

Ce qui semble d’abord être une vulgaire blague pour geek est en réalité une solution Web pour les pays en développement.

Google affirme que j’ai 38 centres d’intérêt, le premier étant «actualités». Pas bête, je suis journaliste. Il ne se trompe pas non plus avec «communautés en ligne», «informatique et électronique», «jeux» et «logiciel».

Ensemble, ils ont droit de vie et de mort sur les dizaines de millions de pages qu’on trouve dans l’encyclopédie en ligne.

L’an dernier, un Français a lancé un réseau social destiné à partager les images prises par des drones, ces robots des hauteurs. Aujourd’hui, Dronestagram attire pas moins de 200 000 visiteurs uniques par mois.

Maximiser sa productivité au travail en deux temps, trois clics, c’est possible. Zoom sur les meilleurs outils numériques à télécharger.

Blake Benthall, connu en ligne sous le pseudonyme de «Defcon», a été intercepté par les autorités de San Francisco. Son entreprise générait des ventes d’environ huit millions de dollars par mois et comptait près de 150 000 utilisateurs actifs.

Si des chercheurs ont pu créer BadUSB, d’autres pirates ou agences de renseignements moins bien intentionnés pourront le faire aussi — s’ils ne l’ont pas déjà fait.

L’avenir appartient aux tablettes ? Le papier n’a pas dit son dernier mot.

Vingt ans après avoir inventé les publicités surgissantes (communément appelées pop-up), son créateur se repent, assurant qu’il avait, à l’origine, de «bonnes intentions».

Après 48 heures, un journaliste américain a vu son compte se déshumaniser, adopter des idées politiques de droite et… s’abrutir !

Lire un classique de la littérature n’aura jamais été aussi faci… rapide.

Perdre sa voix, c’est voir s’envoler une partie de son identité. Mais la technologie pourrait bientôt changer cela.